vendredi, 25 avril 2008
Blogème XL
Quelquefois, bouche-toi les oreilles avec de la ouate imbibée de cire, et mets-toi devant un arbre moussu, à l’ombre de la plus forte branche, là où la lumière semble se séparer de la poussière qui monte du sol ; n’est-ce pas un soulagement de ne plus entendre le son de ta propre voix ?
00:38 Publié dans Blogèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, poésie, poème, écriture
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