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mardi, 16 janvier 2024

Les "Histoires naturelles" de Jules Renard au Printemps de la poésie, réservez votre date!

Histoires naturelles.jpegL’âne, la vache, le vers luisant… je n'aurais jamais pensé que je les mettrais un jour en scène! Sur un accompagnement musical de Nicolas Bertholet, Frédéric de Nexon lit "Histoires naturelles" de l'auteur de "Poil de carotte" pour une soirée pleine de tendresse et d’humour.
 
Nous sommes aux alentours de 1890, à la campagne, au bois, au zoo, le long d'une rivière, dans un potager… et nous observons les animaux. L’écrivain, s'adonnant lui-même non sans scrupules à la chasse et à la pêche, trace ici quelques pistes de réflexion sur notre rapport à la Nature. Moments magiques avec un entomologiste amateur qui non seulement étudie la vie des bêtes, avec une méticulosité et un sens du détail infinis, mais vit au milieu d'elles, les traitant avec compassion et bonté.
 
Vu à travers ses yeux, le rapprochement entre animalité et humanité nous questionne et nous rappelle à nous-même. Une prometteuse amorce de débat philosophique sur un sujet bien de notre temps. Jules Renard avait dédicacé ses "Histoires naturelles" à son ami le comédien Lucien Guitry, père de Sacha Guitry, qui les appréciait au point de les déclamer en public dès que l'occasion s'y prêtait.
 
Pour clore la soirée, une verrée vous est offerte par l'équipe des Éditions du Renard par la queue.
 
Les samedi 16 mars, jeudi 21 mars, dimanche 24 mars à 19h, à la Place Grand-St-Jean 1, à Lausanne (cabinet psychologique).
 
"Histoires naturelles", Jules Renard
Mise en scène, Ferenc Rákóczy
Lecture, Frédéric de Nexon
Musique, Nicolas Bertholet

dimanche, 19 novembre 2023

Sabine Dormond lit "Tonitruances" au siège du Renard par la queue

Sabine, Dormond, Tonitruances, dépendance, sexeChers amis des Arts et des Lettres,
 
Pour inaugurer ces nouvelles Veillées du Grand-St-Jean, vous êtes cordialement invités le 25 novembre à la lecture que Sabine Dormond nous fera de Tonitruances, un livre-témoignage de Marie Marga autour de la dépendance.
 
Passant de l'anorexie à la toxicomanie, tout en poursuivant une quête éperdue de sexe et de tendresse, l'auteure découvre que ces dysfonctionnements sont les divers symptômes d'un mal-être affectant tous les domaines de la vie. Réflexion exemplaire sur l'addiction, d'une honnêteté totale, Tonitruances nous montre l'importance de la construction sociale dans la survenue des troubles psychologiques, mais aussi, paradoxalement, que c'est par la société, à travers les groupes d'entraide notamment, que peut se dessiner une voie de guérison.
 
"La visite en classe des services de prévention de la toxicomanie me marque particulièrement. On nous expose les effets, les risques et les symptômes liées à la consommation de différentes drogues. (...) Bien plus tard, on me dira que changer d'addiction, pour un dépendant, c'est comme changer de cabine sur le Titanic."
 
La lecture aura lieu le samedi 25 novembre à 19h30 au Cabinet psychologique, 1er étage, à la place Grand-St-Jean 1 à Lausanne.
 
La soirée est suivie d'une verrée aux mandarines.

Tout cordialement et à bientôt peut-être,

Votre F.R.

dimanche, 14 août 2022

Création de Grünewald, comédie fantastique

Affiche_Grünewald_2022.jpeg

Chères amies et chers amis,

J'ai le plaisir de vous inviter au bois de Sauvabelin à la création 2022 de Grünewald, une comédie fantastique que j'ai écrite et mise en scène avec la troupe du Renard par la queue, ici, à Lausanne. 
 
La pièce nous présente un fragment de la vie de Matthias Grünewald, qui a peint entre 1512 et 1516 son fameux retable d’Issenheim pour la commanderie des frères Antonins, un ordre qui soignait surtout les malades atteints par le feu de Saint Antoine. Parti à Bâle chez Holbein pour trouver des pigments qui lui manquent, le peintre traverse les bois d’Alsace pour revenir au couvent d’Issenheim, près de Colmar, et y poursuivre son ouvrage. Il fera la route avec Nepers, un jeune moine extravagant, venu à sa rencontre pour l’assister dans son travail. Mais rien n’est jamais simple au pays de l’art, et la forêt n’est pas seulement celle du chemin et de la quête, mais aussi celle des songes et des maléfices qui hantent l’être humain depuis toujours.
 

Conçu pour être joué en temps de pandémie, dans de grands espaces, un peu à la façon d’un Mystère médiéval, Grünewald fonctionne aussi comme une performance délivrée de la fixité du plateau, le public déambulant avec les acteurs à travers la forêt, réelle ou métaphorique. À défaut de diables, il y a des monstres, des anges et beaucoup de défunts qui accompagnent et rythment le spectacle de leurs jeux et musiques, largement inspirés par le théâtre de rue. La dynamique du voyage créé par le texte apporte une dimension à la fois active et réflexive au spectateur, qui est directement impliqué du fait qu’il se trouve parfois pris à partie en tant que public et devient même un élément du dispositif. 

Nos représentations prévues à Lausanne:
  • Vendredi 2 septembre, générale à 18h
  • Samedi 3 septembre, 18h
  • Dimanche 4 septembre, 18h
  • Samedi 10 septembre, 18h
  • Dimanche 11 septembre, 18h
  • Samedi 17 septembre, 18h
  • Dimanche 18 septembre, 18h

L'entrée est libre, mais il faut obligatoirement réserver auprès de Mme Clémence Vidon, soit au 076 615 00 06 ou via notre messagerie électronique: lerenardparlaqueue@gmail.com

Pour ceux que ça peut intéresser, vous trouverez en document-joint le dossier de presse de l'événement: Grünewald, dossier de presse.PDF
 
En me réjouissant de peut-être vous (re)voir à ce spectacle un peu hors norme, tout cordialement,
 
Votre Ferenc Rákóczy
 

D’une épidémie à l’autre

Question à Ferenc Rákóczy: Comment ce projet de création est-il né ?

Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des raisons profondes. La cause occasionnelle c’est que Philippe Vidon et E Scaldino, avec lesquels nous avons travaillé pour le cinéma en 2016, se sont ligués pour me passer commande d’une pièce pour deux acteurs qu’ils pourraient jouer en temps de pandémie sans avoir trop l’oeil sur la jauge de leur théâtre. Ensemble, nous avons exploré  durant plus de sept mois le thème de Grünewald et du retable d’Issenheim, une oeuvre picturale qui m’est particulièrement chère, pour parvenir à un texte qui nous a paru suffisamment engageant pour être « performé » dans un espace ouvert et mouvant, véritablement hors scène. C’est une expérience que je voulais tenter depuis longtemps, dans l’idée générale de jeter le théâtre hors de ses gonds: opter pour un espace débarrassé de toute contingence, loin de la présentation du plateau artificiellement surélevé.

La deuxième chose que je voudrais dire, c’est que le passage entre morts et vivants m’a toujours paru extrêmement naturel, et le seuil non pas infranchissable, mais terriblement poreux. Un peintre comme Grünewald, avec toute la sauvagerie mystique qui le détermine, permet à l’imaginaire de se déployer là où le rite côtoie le mythe, dans un art qui se déchaîne autour de la mort. Cet effet de tremplin de l’imaginaire est encore accentué par le fait que l’identité de Grünewald reste incertaine: on lui connaît plusieurs  signatures, ce qui a beaucoup contribué à la confusion autour de son nom. Grünewald se veut donc un Mystère pour les temps actuels, un genre ne reposant sur aucun critère générique à proprement parler, mais sur l’idée que l’on peut se faire d’un certain théâtre, et sans doute aussi d’un certain Moyen Âge…

 

Question à Philippe Vidon: Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur le personnage de « Grünewald » que vous incarnez ?

Le peintre Grünewald est le personnage central du spectacle, mais également la clé d’accès au récit. Dans un langage poétique et néanmoins accessible, il accueille et guide les spectateurs dans son rêve, il les invite à se perdre dans l’au-delà, en quête de soi car en quête du divin, ce qui se confond alors avec son art. Il se questionne. Il nous questionne sans cesse. Profondément humaniste, il va si loin qu’il se perd et finit même par s’oublier tout à fait. La force du personnage est de parvenir à évoquer ces univers à la fois étranges et accueillants, où chacun peut habiter, voyager et se perdre à son tour.

mercredi, 02 mars 2022

"Parce que la guerre est belle", un film de Ferenc Rákóczy, les 4 et 5 mars à Lausanne

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Chers amis, j'ai le plaisir de vous inviter le vendredi 4 mars et samedi 5 mars à 19h30, à la projection de PARCE QUE LA GUERRE EST BELLE, un long-métrage que j'ai fait pendant la pandémie. Cela aura lieu à mon cabinet de la Place Grand-St-Jean 1 à Lausanne, lors d'une de nos veillées privées, un verre à la main.
 
Synopsis

Dès l’aube des temps, et en dépit des malheurs qu’elle amène avec elle, la guerre a été l’une des activités les plus marquantes de l’homme. Qu’est-ce qui pousse des jeunes gens à partir de chez eux, quittant une famille, une vie paisible, en un mot, la sécurité, pour s’engager sur les voies douloureuses de la guerre ? Presque entièrement monté en images d’archives tombées dans le domaine public, le film retrace l’histoire de Béla Kovács, un aviateur américain qui traverse la Seconde Guerre mondiale à bord de sa forteresse volante B-12, puis participe à la guerre froide et à la conquête de l’espace. Le récit suit ainsi ses réactions face à de telles expériences, mises en parallèle avec les tribulations d’Ulysse, cet autre grand aventurier et guerrier.

Intentions de réalisation

J'ai eu l'envie de faire un film sur la pulsion guerrière après avoir vu une série d’émissions sur de jeunes Européens partis en Syrie rejoindre Daech, alors que rien ne les y obligeait. Bien entendu, l’idéologie et le désarroi ont une grande part dans cette adhésion au pire, mais est-ce bien suffisant ? On peut y voir aussi la version moderne d’un récit plus ancien, immémorial, celui auquel les hommes de tous les temps ont eu recours pour justifier la guerre, ses meurtres, ses viols et ses pillages... Passionné depuis toujours par les films muets, il m’a paru pertinent de dérouler cette histoire par intertitres, mais à la première personne du singulier, une façon sans doute plus contemporaine d’amener la subjectivité du narrateur, dont on attendra en vain une prise de conscience quant à ce qui a été accompli.

Malgré la pandémie, ce second (petit) long-métrage den noir et blanc (67 minutes) a commencé à circuler en festivals dans la catégorie "fiction expérimentale" :

  • - Gold Star Movie Awards, Newark, USA, 2021           – Best Experimental Feature
  • - Falcon International Film Festival, USA, 2021
  • - Auber Film Festival, Aubervilliers, France, 2021
  • - VdR–Film Market, Visions du Réel, Nyon, Suisse, 2021
  • - Essex DocFest, UK, 2021
  • - Limelight Film Contest, India, 2021
  • - Redwood Film Festival, USA, 2021

mardi, 23 novembre 2021

Christian Campiche nous emmène à Sashalom

Christian, Campiche, SashalomNous ne retournerons plus à Sashalom est le roman d’une chronique médusée que Christian Campiche nous offre de sa Hongrie natale, avec comme toile de fond la fin de la Seconde Guerre, la mise en place du régime communiste et la guerre froide, pages tristes de l’Histoire magyare qu’on suit jusqu’à la répression de l’insurrection de Budapest en 1956. « Écoutez-moi, bande de Soviets de merde, ce que vous faites à la Hongrie, vous le payerez un jour! » crie un insurgé avant d’être fauché par la rafale de mitrailleuse d’un char soviétique. Un peu plus loin, un enfant jette un cocktail Molotov dans un tank. Un jeune soldat Mongol, guère plus âgé que le gosse, en jaillit au milieu des flammes. Le ton est donné.

À une autre époque, un célèbre poète disait déjà: « La Hongrie est un petit peuple assis au bord de l’Univers. » C’est ce sentiment qu’illustre de bout en bout cet ouvrage. Et le sujet est passionnant, porté par une plume nerveuse, pleine de tendresse et ultra-cinématographique. Écrit pour ainsi dire à l’intention de ceux qui ne connaissent pas ce fragment de la Grande Histoire européenne, ces petites histoires mettant en scène des personnages attachants se déploient entre faits réels, journalisme documentaire et fiction d'un romanesque échevelé.

À l’État, tous les coups sont permis, les plus vils, les plus abjects, les plus sanglants. Il n'y a qu'une loi, celle du plus fort, et les hauts cadres du régime n’hésitent pas de passer par une déferlante de violence sanguinaire. Même les pays occidentaux abandonnent la partie face à l’Union soviétique, allant jusqu’à interdire des livraisons d’armes aux insurgés. Et puis, il y a ceux qui restent et ceux qui partent. Ceux qui reviennent, comme dans la vie. Campiche réussit de main de maître cette descente infernale de l’autre côté du rideau de fer. Convoquant Mandelstam pour dire la perversité de Staline, ce despote qui « forge des chaînes, décret par décret », écrasant toute vie sur son passage, il nous donne à voir des personnages aux prises avec des ruminations rugissantes qui les font trouver pour finir des solutions désespérées à des problèmes sans espoir.

Dieu merci, et pour notre plus grand plaisir, le livre de Christian Campiche se clôt par un petit lexique hongrois, dans lequel on apprend par exemple que "sok puszi" (prononcer "choc poussi") signifie "je t'embrasse bien fort". Très utile au lecteur francophone, n'en doutons point. Quand je referme un livre, et Nous ne retournerons plus à Sashalom ne fait pas exception à la règle, je sens que des choses m'ont échappé, mais ce n'est pas grave, c'est même une des raisons principales pour lesquelles je ne me sépare jamais des livres, afin de pouvoir les relire.

 

Nous ne retournerons plus à Sashalom, Christian Campiche, Éditions La Maraude, Lausanne 2021

 

vendredi, 27 août 2021

Les marionnettes ne mentent pas, avant-première au CityClub de Pully

Marionnettes, filmChers amis des Marionnettes, après une longue attente, j'ai la joie de vous inviter, vous et vos proches, à l'avant-première lausannoise de Les marionnettes ne mentent pas, notre premier long-métrage tourné dans la région dans le cadre de la charte de production "Proxima". L'événement aura lieu le samedi 16 octobre de 14h à 16h au cinéma CityClub de Pully, qui a la gentillesse de nous mettre à disposition sa belle salle indépendante, ce qui est une bénédiction en temps de pandémie.
 
La projection sera suivie d'une sortie apéritive au bord du lac, avec des animations ciné-poétiques pour les enfants petits et grands. En cas de pluie, nous nous réfugierons à mon cabinet à la place Grand-St-Jean 1.
 
Si vous aviez l'amabilité de me contacter assez rapidement pour signaler votre envie de venir et combien de places nous devons réserver pour vos proches et amis, cela m'arrangerait grandement.
 
Malgré la pandémie, Les marionnettes ne mentent pas commence à faire son bonhomme de chemin en festivals, suscitant des échos à la fois tendres et émerveillés sur son passage:
 
  • • KinEst Fest 2021, Italie
  • • Gold Star Movie Awards 2021, India - Best Drama Feature
  • • Sweden Film Awards 2021
  • • Valencia Indie Film Festival 2021, Espagne
  • • RedWood Film Festival 2021, UK 
 
Le tout meilleur à vous, profitez bien de cette fin d'été !
 
Votre F.

dimanche, 18 octobre 2020

Les Marionnettes ne mentent pas

Marionnettes, film, Ferenc, Rakoczy,

Chers amis du Cinéma,

Nous avons le plaisir de vous annoncer que Les marionnettes ne mentent pas est maintenant terminé et va entamer sa vie en festivals. Un tout grand merci à toutes celles et à tous ceux qui ont participé à son élaboration, et sans lesquels rien n'aurait été possible!

Pour les intéressés, voici le lien vers le Press Kit du film:

PRESS KIT_Les Marionnettes ne mentent pas.pdf

Vous trouverez des images des Marionnettes sur notre site:

www.strangeclouds.ch

Et enfin, le lien vers l'excellent mini-documentaire que Karim Trabelsi a fait sur Dominique Bianchi, le marionnettiste qui a créé les poupées de Les marionnettes ne mentent pas:

L'atelier des Marionnettes sur Vimeo

 

lundi, 21 septembre 2020

Vernissage "Volistalgie" de Sébastien Théraulaz, le vendredi 25 septembre 2020

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Chers amis des Arts et des Lettres,
 
Nous avons l'immense plaisir de vous inviter au vernissage «Volistalgie» de Sébastien Théraulaz, qui aura lieu le vendredi 25 septembre 2020, dès 17h30, dans les locaux des éditions du Renard par la queue, au Cabinet Psychologique, place Grand-Saint-Jean 1, 1er étage, à Lausanne.
 
«Volistalgie»
 
Sébastien Théraulaz a tenu à exposer chez nous ces tirages photographiques de collages qui frappent par leur côté imprévisible et leurs couleurs pimpantes. La matière première en provient de livres trouvés au hasard, qu'il effeuille et découpe pour y prélever des fragments, des bribes d'images, autant de fétus d'un monde de papier voué, avec l'avènement du numérique, à une rapide destruction.

L'image ainsi obtenue donne une signification nouvelle à ces collages photographiés selon des procédés anciens, dont le visuel inattendu n'est pas sans rappeler certaines créations surréalistes, ou encore la rêverie symboliste d'un recycleur à la fois atemporel et d'un passé-futur totalement revendiqué.

L'artiste

Sébastien Théraulaz est un créateur protéiforme qui est revenu vivre à Lausanne après avoir étudié au Art Center College of Design de Pasadena, en Californie. Il s'est ensuite installé à Montréal où il a travaillé avec des productions télévisuelles et dans la publicité tout en poursuivant en permanence ses propres recherches artistiques à travers le dessin, la photographie et les techniques mixtes. 

L'exposition aura lieu du 25 septembre 2020 au 28 février 2021.
 
Je me réjouis énormément de vous rencontrer au vernissage de M. Théraulaz après cette longue période troublée par la guerre contre l'ennemi invisible,
 
Votre F.R.

 

vendredi, 17 juillet 2020

Festival du Passoir à St-Livres, 5 septembre 2020

Festival du Passoir, Ferenc Rakoczy, Philippe Vidon, Dimitar Ivanov

Mon ami Philippe Vidon a le plaisir de vous inviter à son petit festival au lieu-dit le Passoir, à St-Livres, festival qu'il a organisé dans la grange de la famille Roy.

Les Hospices rhénans : Sur un texte de Ferenc Rakoczy influencé par les représentations bâloises de la danse de la mort, Philippe Vidon nous donne une lecture croisée avec l'auteur. Ce voyage poétique est accompagné par Nicolas Bertholet, qui injecte des notes de guitare dans un boucleur pour créer des nappes sonores psychédéliques et hypnotiques.

Le Poisson-Scorpion Miguel Québatte reprend ici le spectacle qu’il a créé en 1999 autour du célèbre livre de Nicolas Bouvier. L'écrivain-voyageur y raconte son séjour à Ceylan, en 1955, séjour marqué par la fièvre, la rupture amoureuse et son rapport de connivence avec les insectes et la magie de l'île.

Classical Fragments : Le « Duo Synaphé », avec les deux guitaristes Dimitar Ivanov et Angela Kleger, nous propose le vernissage de leur nouvel album enregistré durant ce mois de juillet (oeuvres de J.S. Bach, Beethoven, Chopin, Rachmaninoff, Bartok) pour guitare à six et guitare à dix cordes.

Cette soirée du 5 septembre, qui se déroulera, nous l’espérons, sans trop de contraintes sanitaires, sera limitée à une « quarantaine » de personnes et sera jalonnée de moments dînatoires.

Nous vous prions lors de vos réservations d’annoncer si vous pensez apporter, en plus de votre présence, quelques boissons ou autres créations culinaires.

dimanche, 05 novembre 2017

Remise du Prix des écrivains vaudois

AVE, prix, écrivains, vaudois, Ferenc, Rakoczy

Bien chers amis,

Vous êtes cordialement invités à la remise du Prix des écrivains vaudois 2017, que je reçois le samedi 25 novembre à 18h à la Fraternité, place Arlaud 2, à Lausanne.
 
Avec ce choix, c'est surtout la poésie qui est honorée, cette poésie qui demeure toujours et encore le parent pauvre de la littérature, et qui s'infuse de plus en plus difficilement dans notre quotidien régi par les banques de données numériques.
 
L'événement sera accompagné d'une série de performances que nous avons le plaisir de donner avec Nicolas Bertholet, qui accompagnera ma lecture de ses boucles de guitare hyper-planantes.

Afin de prévoir la taille du buffet, il faudrait que les intéressé(e)s se manifestent sur le blog ou en contactant directement l'AVE comme indiqué sur l'affichette.

Je me réjouis de fêter cet événement avec vous!

jeudi, 27 avril 2017

"Avant l'oubli" - invitation à l'avant-première le 29 avril à Lausanne

Avant l'oubli.jpg

Chers amis du cinéma et de la poésie,
 
Nous avons le plaisir de vous rappeler l'invitation le samedi 29 avril à 17h à l'avant-première lausannoise d'Avant l'oubli, notre dernier court-métrage de fiction sur le thème de la maladie d'Alzheimer.
 
La projection sera précédée de Dans ses mains, un autre court-métrage tourné par StrangeClouds, dans lequel apparaît également Josiane Bataillard, l'actrice qui porte le personnage principal d'Avant l'oubli, et à qui nous dédions la soirée.
 
La séance gratuite aura donc lieu au cinéma Bellevaux à Lausanne.
 
Les places étant nombreuses, vous pouvez amener qui vous voulez et même diffuser l'information autour de vous.

vendredi, 14 avril 2017

AVANT L'OUBLI en avant-première le 29 avril à Lausanne

 

Avant l'oubli1.jpg

Chers amis,

Nous avons le plaisir de vous inviter le samedi 29 avril à 17h à l'avant-première lausannoise d'Avant l'oubli, notre dernier court-métrage de fiction en partie filmé pendant la manifestation du Midnight run, sur le thème de la maladie d'Alzheimer.

 
La projection sera précédée de Dans ses mains, le second court-métrage tourné par StrangeClouds, dans lequel apparaît également Josiane Bataillard à qui nous dédions la soirée.
 
Faites-vous accompagner par qui voudrez, les places disponibles sont nombreuses et comme d'habitude, tout le monde est le bienvenu!
 
La séance gratuite aura lieu au cinéma Bellevaux, à la route Aloys-Fauquez 4, à Lausanne. Vous trouvez le plan d'accès sur leur site:
 

samedi, 20 août 2016

Ecrire, l’été, les pieds nus ou à l’aise dans les baskets…

FOQA3745.jpegLes éditions du renard par la queue ont le plaisir de vous convier aux quatre ateliers d’écriture que Josiane Bataillard organise pour la rentrée 2016.
 
Tous les premiers samedis du mois (3 septembre, 1er octobre, 5 novembre et 3 décembre) de 9h30 à 13h30, pour faire le tour du pied, de la chaussure, du corps qui danse.
 
Progression adaptée suivant les envies. 30 CHF pour les 4 heures.
 
L'atelier est limité à 10 personnes, s’inscrire directement auprès de Josiane Bataillard: josiane.bataillard@ouvaton.org
 
Lieu : 1, Place du Grand-Saint-Jean, Lausanne, 1er étage. Cabinet de psychologie.
 
Consulter également : http://lesmotsdesrives.com/

dimanche, 08 mai 2016

Deux ateliers d'écriture sur le thème "écrire l'intime"

Chers amis,
 
Pour faire suite aux nombreuses demandes que nous avons reçues, Josiane Bataillard vous propose un atelier d'écriture limité à 10 participant(e)s décliné sur deux dates:
 
 
21 mai: l'idée est de "dénouer" nos imaginaires en partant des traces de notre quotidien : apportez toutes sortes de tickets, des photos (les vôtres ou d'autres prises dans les magazines), des plans, des papiers (dos d’affiches, des bouts de phrases ou citations, chutes d’emballages). Avec une panoplie de stylos ou de feutres, cela devrait constituer un magasin d’écriture idéal, ou un anti-magasin. Magasin d’images, de mots, de souvenirs.
Dans un deuxième temps nous passerons à l'écriture d'un journal personnel qui sera compris dans un environnement collectif. Autrement dit, nous explorerons la façon dont le sujet, vous, ou le JE que vous investirez, peut se situer dans cet environnement.
 
4 juin: vous serez invité(e)s à un "voyage autour de votre chambre", à la manière de Xavier De Maistre. A votre manière aussi.
Quelques variantes ne sont pas à exclure, car comme vous le savez, nous privilégions la recherche et l’inventivité.
 
Dates:
21 mai et 4 juin 2016, de 10h à 13h
 
Lieu
Locaux des Editions du renard par la queue
Cabinet psychologique, 1er étage
Place Grand-St-Jean 1
1003 Lausanne
 
Prix indicatif: 20FCH, en aucun cas le prix ne doit vous empêcher d’assister à l’atelier. L’envie d’écrire prime, l'inscription est éventuellement négociable.
 
S’inscrire directement auprès de Josiane Bataillard: josiane.bataillard@ouvaton.org
 

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« ...un flot de mensonges va sortir de mes lèvres, mais il est possible qu’un peu de vérité y soit mêlé… »
Un Lieu à soi, Virginia Woolf, trad. Marie Darrieussecq, Denoël,
 
« Il semble que la fatalité s’acharne à vous tenir dans l’inaction. Impuissance à se mettre au travail. Tous les prétextes sont bons pour repousser d’une heure encore la rencontre avec sa solitude. »
Septentrion, Louis  Calaferte, Gallimard
 
 

mardi, 03 mai 2016

Dans ses mains, le dernier court-métrage produit par StrangeClouds

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Un tout grand merci à Nicolas Bertholet d'avoir concocté de si bonne grâce l'affiche de notre dernier petit film! Et bravo encore à toute l'équipe, Karim Trabelsi en tête, qui a réussi à nous monter un court-métrage à la fois humain et dynamique! Tout bientôt dans vos festivals: Dans ses mains, 18 minutes, 2016.

Site de StrangeClouds

vendredi, 11 mars 2016

"Ecrire l'intime" le 2 avril à Lausanne, encore un événement littéraire à la portée de tous!

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Les éditions du renard par la queue ont le plaisir de vous inviter le samedi 2 avril:

Atelier d'écriture de 10h à 13h: écrire l'intime
Animation: Josiane Bataillard
Le but de l'atelier est d’initier un journal personnel sous la forme de petites notes, "fatras" (le mot est d'Amiel), pages pour soi (d’un soi toujours recomposé), selon nos désirs d’Histoire ou de plus banales histoires de voyages, quêtes amoureuses, aventures imaginaires…
D’autres formes impures, parfois même classées sous l’étiquette de  « roman »  pourraient être proposées, comme autant d'enjeux d’écriture pour une intimité à réinventer.
Prix: 10 CHF
 
Lectures à 20h : 2 voix pour 4 auteurs
Josiane Bataillard et Catherine Dubuis
Pierrette Micheloud : Journal de mes amours
Marguerite Burnat-Provins : Le Coeur sauvage, ou  Vous, ou  Poèmes troubles
Mireille Havet : Extraits de son Journal 1918 1919  
Violette Leduc : La Bâtarde
 
L'atelier et les lectures auront lieu dans les locaux de la maison d'édition à Lausanne, au premier étage de la place Grand-St-Jean 1.

dimanche, 06 décembre 2015

LA FRONTIERE AU CINEMA, conférence le 10 décembre à Lausanne

 

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Chers amis du cinéma,
 
Nous avons le plaisir de vous inviter à une conférence donnée par Abderrahmane Bekiekh le jeudi 10 décembre à 19h dans les locaux de notre petite maison de production de StrangeClouds, à la place Grand-St-Jean 1, à Lausanne.
 
Sous le titre de LA FRONTIERE AU CINEMA, Abderrahmane donnera donc une conférence d'une durée de trois heures. Le prix de l'intervention est de 40 CHF. L'entrée est libre pour les proches et bénévoles de StrangeClouds.
 
Pour clore la soirée, le verre de l'amitié est offert par notre petite maison de production.
 
Je me réjouis de vous voir nombreux!

samedi, 07 novembre 2015

"Constance" et "Walnuts" ::: avant-première lausannoise

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Chers collaborateurs et amis de StrangeClouds,
 
Nous avons le plaisir de vous inviter le 18 novembre à l'avant première lausannoise de nos deux dernières réalisations filmiques:
 
Constance, court-métrage de fiction ::: 17 minutes
 
Walnuts, court-métrage de fiction ::: 10 minutes
 
Il y aura également un petit invité surprise (ou intrus), et nous passerons auparavant Ilona dans la forêt, notre premier court-métrage de 26 minutes. En tout, cela nous fera donc un programme d'un peu moins d'une heure de divertissement total!
 
La séance aura lieu le mercredi 18 novembre à 20h, au cinéma Obò, à l'avenue de France 9. Vous trouvez le plan d'accès sur le site de l'Oblò:
 
http://oblo.ch/cinema/index.php?menu=2

Pour ceux qui viennent en voiture, il vaut sans doute mieux se garer au parking de Montbenon, puis traverser le pont Chaudron, c'est à cinq minutes! Comme il se soit, l'entrée est libre. N'hésitez pas à amener vos amis, les proches ou la famille, ils sont les bienvenus...

dimanche, 05 juillet 2015

Le "non" au référendum grec ou la victoire de la démocratie sur le diable

 

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Le prix Nobel d'économie Paul Krugman, qui avait milité pour le "non" au référendum, s'est réjoui dans un billet publié sur le site du New York Times des résultats. "Tsipras et Syriza ne sont pas les seuls gagnants : je dirais que l'Europe et l'idée européenne ont gagné gros, au moins en évitant le pire", a-t-il écrit.

"Je sais que ce n'est pas comme ça que beaucoup voient cela. Mais pensez-y : nous venons de voir la Grève s'opposer à une vile campagne d'harcèlement et d'intimidation, une tentative de terroriser le peuple grec, pas seulement pour qu'il accepte les demande des créanciers mais aussi pour qu'il se débarrasse de son gouvernement", a-t-il analysé. "Si la Grèce avait été poussée dans ses retranchements par la peur des marchés financiers, l'Europe aurait pris un chemin qui aurait sali sa réputation pour des générations", assure-t-il.

"Et si la Grèce sort finalement de l'euro ? Il y a maintenant de grandes chances que cela arrive et, dans tous les cas, la démocratie importe plus que n'importe quel arrangement monétaire."

Tout ceci pour nous rappeler que l'Union européenne (aujourd'hui représentée par la troïka France, Allemagne et Grande-Bretagne qui dicte ses lois iniques aux autres peuples) est sans conteste la plus grande régression démocratique que notre continent ait subi depuis le fascisme et les régimes communistes.

mardi, 09 juin 2015

Walnuts (les noix), court métrage de 10 minutes, bientôt sur vos écrans...

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