dimanche, 04 mai 2008
Blogème XLVIII
Je parle d’ici parce que je sais que je ne puis plus rien pour toi. Là où tu respires rougeoie une plaie vibrante parmi les souches et les troncs entassés sur l’antique montagne de pierres… un arbre d’argile qui se consume lentement sur ses os. Parfois je me demande s'il existe une autre issue à l'asphyxie que la mort.
00:10 Publié dans Blogèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, poésie, poème, écriture
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