vendredi, 02 mai 2008
Blogème XLVI
L’homme dont l’emploi est de verser le chloroforme sait qu’il n’a pas le droit de parler avant que ne s’éteigne la dernière plainte. Car parler c’est trop d’espérance sans doute.
00:05 Publié dans Blogèmes | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : littérature, poésie, poème, écriture
Commentaires
Merci pour ces pensées qui m'accompagnent jour après jour. J'espère que vous allez continuer longtemps ainsi. Même quand il est question de chloroforme, on ne s'endort jamais sur votre blog.
Charles V.
Écrit par : Charles V. | vendredi, 02 mai 2008
Ouah! et vous allez continuer longtemps comme ça, sur ce ton à donner le bourdon à un œuf de Pâques? Il fait beau, mais comme je n'ai plus assez d'argent pour me payer un hamburger, je me console avec le chloroforme du type qui ne sait pas causer. Je vous avoue que ça aide aussi.
Votre AlMorales
Écrit par : Al Morales | dimanche, 04 mai 2008
Merci, Messieurs, pour l'efficacité de votre soutien...
Selon la formule consacrée, on fera comme de coutume ce qu'on peut avec ce qu'on a (ni plus ni moins): et comme j'aime bien regarder les toiles d'araignées... disons que ça durera ce que ça durera...
Bonnes nuits à tous,
Ferenc R.
Écrit par : Ferenc R. | dimanche, 04 mai 2008
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