dimanche, 06 avril 2008
Blogème XIX
Lors de ta naissance, comme le monde a dû te paraître vaste… Avec tes premiers pas, il s’est encore profusément agrandi… À l’heure de l’irrémédiable clarté, au bord du noir sans retour, c’est toi qui seras devenu immense et en même temps si léger, si diminué !
13:11 Publié dans Blogèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, poésie, poème, écriture
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