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mardi, 25 mars 2008

Blogème III

Tu creuses, traverses, retournes la nuit comme un gant usé, pour t’apercevoir au bout du compte que c’est à l’intérieur de ces coutures resserrées que ton temps a mûri, s’élargissant jusqu’au vertige.
 

Commentaires

Ma serviette n'éponge plus, elle a tout épongé, déjà les grenouilles coassent. Ah ! joie, c'est le printemps.

Écrit par : Bataillard | mercredi, 26 mars 2008

Parfois, au moment de te parer de tes plus beaux atours tu ouvres la porte de ton placard, et là... les cintres t'attaquent sans te laisser le temps de faire ton choix... tu refermes la porte, tu retournes te coucher... aujourd'hui, inutile de t'habiller!

Écrit par : cricri | dimanche, 30 mars 2008

Un hydrofoil, arborant une donzelle affublée d'une fontange se prenait pour un herméneutique avisé, quel ne fut pas son ire de constater que la masselotte lui empruntait la béquille du désespoir noir.

Écrit par : titaMarisa | dimanche, 30 mars 2008

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